
– Défenseur des droits de l’Homme de la République d’Arménie –
Le Réseau européen des institutions nationales des droits de l’Homme (ENNHRI) a publié un article qui considère l’expérience conjointe du Défenseur des droits de l’homme d’Arménie et du Défenseur public de Géorgie dans la surveillance des postes frontières d’Etat comme une bonne pratique en Europe. Il s’agissait de la première tentative entre l’Arménie et la Géorgie.
L’ENNHRI vise à protéger et à promouvoir les droits de l’homme en Europe. 40 institutions nationales des droits de l’homme de l’UE et du Conseil de l’Europe sont membres de l’organisation. Le réseau sert de plateforme efficace pour l’échange d’expériences, et de plateforme de soutien des membres pour les questions communes.
La publication fournit des informations sur les compétences des deux institutions dans le domaine de la protection des droits des migrants, des demandeurs d’asile et des personnes ayant besoin d’une protection internationale. Les principes de coopération et de travail conjoint en termes de surveillance aux points de passage frontaliers sont également discutés.
ENNHRI, en tant qu’exemple positif, souligne le rôle du Haut Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés dans les deux pays en termes de la coopération mentionnée. L’institution Human Rights Defender entretient une coopération stable et efficace avec les structures susmentionnées. Elle vise, entre autres, à fournir des mécanismes pour la protection effective des droits des demandeurs d’asile et des réfugiés, ainsi que des personnes déplacées et des migrants, par l’échange d’expériences et d’informations.
L’article fait référence aux formations dispensées aux gardes-frontières et autres fonctionnaires par les bureaux du Défenseur des droits de l’Homme d’Arménie et du Défenseur public de Géorgie et par des organisations partenaires.
Le Défenseur des droits de l’Homme a toujours souligné le rôle important des troupes de gardes-frontières dans la protection des droits de l’Homme. Il convient de noter que le développement régulier de leurs capacités est nécessaire, avant tout, pour garantir les droits des personnes ayant besoin d’une protection internationale.